Alumni days : Sarkal JYAKHWA (Plant Breeding - ST2AE, 2022, Beauvais)

Pourquoi as-tu choisi d'étudier en France ?

J'ai choisi la France pour ma première année de master parce que la France est l'une des meilleures destinations pour les études, la recherche et l'emploi.

Pour être honnête, étudier en France m'a apporté beaucoup de choses. Tout d'abord, j'ai rencontré des amis français très proches qui m'ont invité, ainsi que ma sœur, dans leur famille et ils nous ont fait visiter de beaux endroits en France (Lille, Brest). Nous sommes toujours en contact et j'espère que cela durera pour toujours. Je suis sûr que j'aurai l'occasion de les inviter au Népal. Ensuite, j'ai pu découvrir la culture, la tradition et la langue françaises.

Plus important encore, étudier en France a été un tremplin pour poursuivre ma carrière académique. J'ai également rencontré ma partenaire (future épouse) en France. Dans l'ensemble, la France m'a donné des souvenirs durables et une croissance personnelle profonde.

Quel a été ton parcours depuis la fin de tes études ?

Après avoir étudié en France, je suis allé en Finlande pour la deuxième année de mon master. Après avoir terminé mes études de master, j'ai effectué un stage chez Luke, en Finlande, dans le cadre d'une recherche préliminaire sur les fraises. J'y ai travaillé pendant 3 mois. Ensuite, je suis retourné au Népal en septembre 2022. Actuellement, j'ai commencé à postuler pour un doctorat et j'ai été sélectionné dans un projet financé par Marie Curie appelé RootEd. J'ai commencé mon doctorat en septembre 2023. Je vis en Estonie et poursuis des études de doctorat à l'Université de Tartu.

Que peut-on te souhaiter pour l'avenir ?

Pour l'instant, mon objectif est de réussir mon doctorat. Ensuite, j'aimerais continuer à faire de la recherche dans le domaine de l'écologie des sols. Mes pays de rêve seraient la France et la Finlande. La France et la Finlande occupent une place spéciale dans mon cœur, et j'ai le désir de redonner aux communautés académiques qui m'ont nourri. Peut-être qu'une opportunité de travailler avec l'INRAE, comme à Dijon où ma partenaire poursuit actuellement son doctorat, correspondrait à mes ambitions.